Les limites exotiques du milieu « sauvage »

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Je viens souvent confronter 2 notions l'une à l'autre. Là je repense à ces idées d'exotisme, d'émerveillement, d'authentisme et de sauvage en lisant un article dans l'avion. On y parle de l'île de Cook où il faut notamment se méfier des noix de coco car elles peuvent tomber sans que l'on s'y attende. Ça explique également que les cocotiers sont nombreux le long de la mer.

Mais quand on y réfléchit, ces arbres sont présents un peu partout au bord de l'eau — simplement on habite dans des lieux où ces plantes ont été rasées pour permettre la place aux logements et autres aménagements.
Et maintenant on passe notre temps à prendre des transports pour rejoindre des endroits préservés qui revêtent un caractère exotique et/ou sauvage. C'est assez contradictoire ces besoins artificiels que l'on se créé.

Classé dans : Réflexion - Rédigé par Pierrot

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