L'adaptation à un nouveau pays

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Il y a beaucoup de choses qui sont différentes en arrivant dans un pays :

  • la langue ;
  • le sens de circulation ;
  • la nourriture ;
  • les habitudes d'informations des touristes ;
  • la façon d'utiliser un robinet ;
  • la place laissée au piétons par rapport aux véhicules à moteur ;
  • l'utilisation de billets, pièces ou carte bancaire ;
  • ...

Tout ça est très déroutant au début. On essaye de se raccrocher à ses propres repères mais on est perdu. Il nous faut alors en créer de nouveaux mais on voyage/bouge trop. Alors la technique c'est l'agilité : il faut être efficace dans la prise d'informations afin d'être parfait dans sa prise de décision.
Avant d'arriver dans un lieu, savoir ce que l'on va y trouver.
Selon les habitudes des lieux, savoir ce que l'on a le droit et ce que l'on n'a pas le droit de faire.
Lorsque l'on ne sait pas, savoir demander.
Quand on explique quelquechose, savoir s'assurer que l'on a été bien compris.
Et caetera.

Et je crois que c'est ça la force du « backpacker » : son arme est son état d'esprit et non pas son sac-à-dos.
Quelques exemples :

  • En prenant le bus pour aller de l'aéroport au centre-ville, on a suivi d'autres backpackers. Oui mais on aurait pu noter le numéro du bus pour quand on retournera à l'aéroport à la fin du séjour.
  • En achetant un ticket de train pour aller à la plage, on s'est concentré sur le prix et la classe du ticket. Oui mais on aurait dû demander à quelle heure il partait car inutile d'attendre 4h (on a finalement annulé la sortie plage).
  • Quand on récupère et synthétise beaucoup d'informations sur une carte chèrement récupérée à l'aéroport, vaut mieux éviter de la perdre dès le deuxième jour... (oui, c'est moi qui l'ai perdu dans un tuk-tuk...)

En bref : j'apprends.

Classé dans : Réflexion - Rédigé par Pierrot

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