Ça y est ; j'ai enfin réussi à terminer de « développer » mon premier échantillon de photos. J'effectue cela dans l'ordre donc ça concerne le premier pays, à savoir (pour ceux qui n'aurait pas bien suivi l'histoire) le Sri-Lanka.
Pourquoi c'était aussi long ?
Et bien, comme j'en ai déjà parlé, ce n'est pas forcément facile d'avoir le temps d'écrire. Et pour les photos, qui est pour moi secondaire par rapport à l'écriture (car les photos sont prises et ne bougeront pas dans le temps ; tandis que mes idées c'est une autre histoire), c'est encore pire. Il m'a donc fallu trouver le temps pour m'y mettre. Une fois que j'ai pu m'y concentrer, j'ai dû trouver le(s) logiciel(s) qui vont bien. En l'occurence je me suis principalement servi de FastStone. Ensuite « yapuka » — si je compte environ 1h par article en moyenne, pour une photo cela tourne entre 5 et 10 minutes ; difficile à juger car je m'y suis repris à plusieurs fois pour ce premier échantillon. En l'occurence j'ai traité 43 photos : soit à la louche peut-être entre 3h et 5h pour tout traiter...
Comment je traite mes photos
Petit flux de ce que j'applique :
Création d'un dossier dans lequel je copie-colle ma sélection.
Reprise de l'horodatage (en raison du décalage horaire) et du nom.
Orientation de la photo (horizon).
Recadrage, pour ne garder que le meilleur et donner la dynamique voulue. Je me borne à 4 « formats » :
3:2 ; ratio par défaut que j'ai choisi pour mon appareil,
4:3 ; assez rare car je n'aime pas trop,
16:9 ; pour le paysages notamment,
1:1 ; car parfois le format carré donne un côté sympa.
Suppression d'éléments génants : oiseau, poussière sur le capteur, personne dans le champ, …
Reprise des tons :
Balance des blancs et noirs,
Ajustement (renforcement ou atténuation) des tons clais et des tons sombres,
Augmentation ou diminution du contraste,
Correction de la colorimétrie.
Renforcement de la netteté.
Dernière « relecture » puis envoi par FTP sur le serveur.
J'effectue tous ces traitements afin de renforcer la dynamique de mes images, de donner un agencement plus doux ou pour attirer le regard sur un élément qui me plaît. Cependant j'essaye d'éviter de dénaturer les images. Ce n'est pas toujours facile mais étant donné que c'est moi qui ai pris les photos, je sais l'impression que je souhaite donner. Donc par exemple quand je vais renforcer les tons sombres dans l'image, c'est bien dans la dynamique dans laquelle j'ai pris la photo.
Put***, il est où le lien !
Je sais que vous l'attendiez tous depuis longtemps, alors voici la première galerie de photos :
Désolé les photos sont encore en taille originale, donc peuvent avoir un poids entre 0.4Mo et 6Mo. Si certains ont des problèmes, je créerais une galerie basse résolution.
Dernière petite note, et oui, personne n'est visible sur les photos. Cette galerie est complètement publique donc j'ai effectué ma sélection dans ce sens. Aussi, il n'y a pas encore de légende. Cela viendra peut-être bientôt. Je ne sais pas encore quand...
Au fait, vous pouvez consulter cet ancien article qui présente nos activités dans le pays et ainsi resituer les photos.
En 2 semaines, je pense que l'on aura pu tester à peu près tous les modes de transports terrestres possible ; à l'exception de la moto. Il faut savoir les combiner correctement les uns les autres pour arriver à un déplacement efficace. Je vais donc lister chronologiquement ce que l'on a utilisé, donner une idée du prix et le cas d'utilisation standard.
Le bus
Utilisé à 4 reprises : 2 foir pour Aéroport<>Colombo puis Anuradhapura>Dambula puis Dambula>Kandy. IL faut vérifier ceux privé de ceux public. On paye une fois monté dedans et assis quand on passe nous voir. Pour le trajet aéroport, on payé 110LKR (par personne) à l'aller et 400LKR (!) au retour pour environ 30km. Puis une fois 340LKR pour environ 60km et enfin 200LKR pour environ 80km. Il faut savoir être patient car il n'y a pas d'horaires et le bus par une fois qu'il est suffisamment plein. Pareil en attraper un "au vol" peut signifier voyager debout (ce ne sont que des bus assis comme les cars scolaires) car impossible de savoir son taux de remplissage.
Le tuk-tuk
J'en ai déjà parlé dans un autre article. C'est le transport le plus prévisible : on en trouve vraiment partout (sauf la nuit ; même à 19h c'est chaud d'en trouver), c'est environ 50LKR/km. Il faut souvent confirmer le prix en fonction de la destination avant de monter dedans ; sauf dans le cas des Taxi-Meter qui eux ont un compteur (qui démarre de base à 50LKR (soit 1km :-) )) donc c'est + simple. On peut parfois parcourir 1km ou 30km, ça dépend. On peut monter à 2 touristes + sacs dedans mais on en voit en 3 adultes et 3/4 enfants. À vous de voir mais mieux vaut ne pas être trop épais.
La voiture
Il est interdit pour un Français de conduire au Sri-Lanka (cf Recommandations aux Voyageurs), même avec le permis international. Nous avions donc une voiture avec chauffeur dans le cadre d'un tour car+driver+accomodations(middle)+breakfast. Par conséquent je ne connais pas le coût exactement mais cela doit tourner autour de 10000 ou 15000LKR pour quelque chose comme 1000km. Là rien d'exact, c'est juste un ordre de grandeur. Plutôt intéressant pour se transporter à 2, 3 ou 4 personnes de manière flexible avec un bon confort (clim, siège à soi, pas d'attente, ...).
Le train
Un peu le beau transport du pays de par son héritage. Pas forcément évident de s'y retrouver sur les horaires, tarifs et services possibles. Le mieux est d'aller à la gare, trouver le guichet qui concerne la destination et s'y prendre à l'avance. 3e classe par défaut (style RER), sinon 2e classe sur réservation. La 1e est possible pour se faire plaisir. Niveau prix, j'ai payé 280LKR (/pers) pour Colombo>Anuradhapura en 3e classe soit 200km (?) et le même prix en 2e classe pour Kandy>Colombo soit 100km (?).
Le vélo
Utilisé 1 fois dans une ville qui s'y prétait bien (Anuradhapura). Permet d'être libre. Il faut juste être vigilant avec la conduite à gauche ==> priorité à gauche, on prend les ronds-points à l'enver.s Première expérience sur route. La prudence habituelle est de mise mais j'ajouterai qu'il ne faut pas avoir de mouvements brusques. Tout le monde se respecte malgré l'impression de désordre, donc pas besoin de clignotants. Enfin il ne faut pas avoir peur de prendre sa place et cela malgré les coups de klaxon.
Les pieds
Oui, ça en réalité on s'en sert pour effectuer la liaison avec le reste des moyens de transports. Gratuit, permet de parcourir des distances astronomiques, de l'ordre de 20km pour une bonne journée. La seule attention qu'il faut avoir c'est de regarder à droite avant de traverser (au lieu de à gauche) et toujours veiller à l'attitude à adopter devant un passage piéton en observant les autres personnes. Enfin je conseille de marcher sur la route du côté droit pour 2 raisons : voir les gens qui arrivent vers soi et s'écarter au besoin et surtout faire comprendre aux conducteurs de tuk-tuk que l'on ne va pas dans la même direction que eux et donc esquiver + facilement leur demande.
Premier billet d'une certaine série. Pour rappel, l'idée est de vous expliquer de quelle manière j'ai bénéficié de l'argent que vous avez eu le bonté de m'offrir pour mon anniversaire. Mon anniversaire de 30ans, ce cap qui s'est ouvert joliement avec ce projet de tour du monde. Le premier projet a été d'aller voir des éléphants srilankais dans le Parc National de Udawalawe. C'est vraiment une expérience unique et pour laquelle on peut parfois hésiter à ouvrir le portefeuille (surtout en tout début de voyage). Et finalement nous avons entrepris de nous lancer dans cette demi-journée démentielle avec un peu plus de légèreté d'esprit. J'ai déjà écrit un article au sujet de ce moment mais même avec un mois de recul j'en garde un souvenir vraiment fort !
Alors : « merci à vous tous de m'avoir permis d'admirer l'allure nonchallente à l'amble des éléphants ceylanais ».
Vu la complexité à raconter l'intégralité des détails de notre voyage, précédemment, j'avais déjà décrit une journée type. Maintenant c'est parti pour la liste de nos journées.
Je ne sais pas si c'est lié au pays, au fait que nous n'étions pas encore habitué à nous "méfier" ou bien si c'est juste une occasion de pas-de-chance. Mais nous avons fait les frais (modéré !) de 2 arnaques à touriste en 24h au Sri-Lanka.
« On va partager les frais. »
La première était lorsque nous logions dans un hôtel à Anuradhapura. Nous étions curieux d'aller visiter le temple de Mihintale qui se situait à environ 20km de là où nous logions. Par connaissance des transports on savait que l'on devait s'en sortir pour environ 1000¤ de transport + les frais habituels sur place (ticket d'entrée, guide, eau, ...). Le gérant de l'hôtel qui était d'humeur aidante, nous dit qu'il peut organiser la sortie pour au maximum 800¤ si plusieurs personnes sont intéressés afin de réduire les frais. Ça tombe bien, on a parlé avec 2 canadiens qui veulent y aller. On est donc au moins 4, ça remplit une voiture, on partage, c'est cool ! Bref, rdv pour 13h30. Ah non il a dit 14h aux canadiens. Puis en fait, non 14h30 parce que d'autres personnes sont intéressés. Et finalement 15h car on attend des gens. Le temps que tout le monde soit monté dans un véhicule, il est 15h30.
Hop, balade dans plusieurs petits monuments satellitaires du grand temple, tout se passe bien (mis à part que des gens sont entassés à 4 dans un tuk-tuk, que l'on ne peut pas mettre notre ceinture à l'arrière de la voiture car nous sommes 4 aussi, qu'un tuk-tuk se perd en chemin, bref « normal »). Nous arrivons au temple, le guide annonce un prix global pour le guide, genre 2000¤ soit 300¤ par personne. On est 12, je ne comprends pas trop le calcul. Bref, je passe outre le fait que le guide se plaint que 2000¤ ce n'est pas assez.
Retour à l'hôtel où chacun doit donner 800¤ pour le transport... Mais ? Je croyais que l'on payait moins cher que si on s'était débrouillé par nous même et que c'était partagé ? Et bien non, le gérant va récupérer 3200¤ soit 20€ pour 40km aller/retour avec sa voiture perso. Idem, les gens entassés dans les tuk-tuk payent au total 2 à 3 fois le prix qu'ils auraient eu en négociant... On est tous un peu scandalisé mais rien à y faire : tout le monde doit payer... Évidémment, par exemple les canadiens pensaient eux que ça serait 800¤ le prix total pour 2. Et en fait non, c'était le double auquel il fallait ajouter les tickets d'entrée et le guide. C'est vraiment désagréable d'être pris par surprise.
« C'est le jardin d'un ami. »
Deuxième arnaque, le lendemain nous arrivons à Dambula. La gérante de la guest house est charmante et coup de bol son mari est conducteur de tuk-tuk. Elle nous dit qu'il peut nous emmener voir le coucher du soleil au rocher de Sigiryia dont un back-packer nous a donné l'une des plus belles (et réalistes) description. Hop, nous partons en fin d'après-midi après avoir visité à pied le temple qui se trouve juste en face de notre chambre (enfin de l'autre côté de la route quand même car c'est un temple dans la roche quand même et il faut marcher 800m pour l'atteindre).
En route vers Sigiryia (environ 25km de route), le mari de la gérante nous parles un peu de la ville ; ça tombe bien, on n'avait pas trop eu le temps se renseigner. Il explique à un moment que l'on passe devant les jardins gouvernementaux où s'on cultivés tous les fruits et légumes "officiels". Et puis aussi le coin est connu pour la culture des épices et aromates. D'ailleurs ça tombe bien, il a un ami qui tient un jardin pour cela et c'est sur la route et ça ne coûte rien et c'est très joli-joli-joli.
Et bien oui, un gus nous montre quelques arbres, arbustes et buissons plantés au pied desquels se trouve à chaque fois un flacon avec une huile ou un onguent qui a toujours de superbe propriété : tel trucs pour les rumathismes, ça pour le mal de tête, ceci réduit les rides, bref, c'est sensé faire des merveilles. Et puis à la fin il propose de vous faire un massage avec l'huile que vous voulez, c'est gratuit MAIS vous donnez ce que vous voulez. Ah bah oui, impossible de ne pas y aller. Le mec nous a fait sentir 15 flacons différents, écrasé des feuilles dans la main ou appliqué de l'huile sur la peau pour prouver les bons mérites des plantes.
Alors impossible d'éviter le massage... Bon le massage est super mais bon, impossible de ne rien donner non plus. Après un massage radical, impossible de ne pas être généreux. Fort heureusement on arriver à échapper à « la boutique » où évidemment on peut se procurer toutes ces huiles. Mais on a la légère sensation d'avoir été dupé... On rejoint notre chauffeur de tuk-tuk qui nous amène là où on veut.
Le coucher du soleil depuis le haut du rocher était magnifique !
Quoi faire au Sri-Lanka ? Comme tout pays, il y a tant à découvrir ! Dur de choisir... Pour nous en dehors de l'aspect "nature" que l'on peut retrouver dans d'autre lieux, voir des éléphants nous semblait immanquable.
Après discussion avec notre chauffeur-"guide", on élimine le parc national de Yala. Là il n'y a quasiment pas d'éléphants (300?) et il y a genre 30 léopoards sur un territoire grand comme un département d'Île de France. Bref on choisit le parc de Udawalawe qui est sur notre route également car vraiment peuplé d'éléphants.
Comment y aller ?
Je veux dire là l'entrée est "bien évidemment" payante mais surtout obligation d'y aller en jeep car on ne peut pas approcher les éléphants autrement. Notre chauffeur nous propose 3 formules :
la cheap : 3000Rs/20$ ; genre on attend pour que la jeep soit remplie et le chauffeur a son petit circuit et s'arrête/repart comme il le souhaite.
la middle : pareil genre 5000Rs/35$ mais là toujours pas de guide. Possibilité d'avoir une jeep à soi mais il faut toujours discuter avec le conducteur.
enfin la good : genre 95$/14000Rs ; on a notre jeep, notre chauffeur vient avec nous, discute avec le conducteur selon nos envies et nous arrête quand on le souhaite, le temps que l'on veut.
On ne voit pas des éléphants 18 fois dans sa vie (du moins en liberté dans leur habitat naturel) et on souhaite que cette expérience soit agréable. On prend donc cette dernière formule à environ 90€. Et puis c'est quoi 90€ ? 2 places chez Disney ? Un bon resto ? Bref, on peut se le permettre même si on doit prêter attention aux budget et dépenses.
Le safari
On sort de notre chambre et la Jeep nous attend devant l'hôtel. On grimpe littéralement dedans : oui car c'est une Jeep spécialement aménagée : la voiture est de style pick-up où à l'arrière sont disposées 3 rangées de 2 sièges en escalier. Cela signifie que les sièges du fond sont sur-élevés afin que chacun puisse voir aussi bien devant que sur les côtés sans être géné par la tête des autres. Pour notre part on peut changer de place à volonté donc on a une vision panoramique sur tous les côtés.
Hop on s'engouffre sur les pistes du parc. Et là après 500 mètres on s'arrète : "Look! Elephant! Look!". En effet on voit le cul d'un éléphant à une cinquantaine de mètres parmi des broussailles. On le canarde un peu mais cela s'avère un peu inutile. En effet, au cours de ces 3h on aura l'occasion d'en voir énormément +, et dans toutes les situations : dans l'eau, la poussière, les herbes, isolé, en groupe, qui marche, ... Bref c'était vraiment magique comme moment. J'adore leur démarche : la marche à l'amble ; cela signifie qu'ils déplacent les 2 pattes gauche puis les 2 pattes droite. Cela donne une allure tranquille bien que périlleuse. Mais c'est une apparence trompeuse car même si ils marchent avec leur pattes croisées (au niveau de leur centre de gravité), ils sont bien stables.
On a pu en approcher de très près. À un moment même je dirais qu'il y en avait un, si il levait la trompe, il pouvait nous toucher.
Photos
Je me suis vraiment fait plaisir sur les photos. Tous styles de cadrage, mises en scène. J'ai alterné avec mes deux objectifs pour des rendus différents. Au début ce n'était pas évident de captuer les paysages. On venait du sud et donc j'avais souvent un contre-jour d'autant + que le soleil était assez haut donc fortement contrastant. Mais vers la fin, j'avais des couleurs + chaudes, une lumière + douce et un éclairage plus agréable quand il venait de côté.
Cela a donc été un régal de ce côté et j'ai remarqué que ma récente expérience de photographe en concert m'a permis de bien progressser.
Au final
On a quand même essayé de passer du temps sans l'appareil à juste contempler et c'est une expérience unique que je recommande vraiment !
Je n'ai jamais visionné la série "24h chrono" mais pourtant je sais qu'une question récurrente amuse Internet : « Comment Jack Bauer réussi à tenir 24h sans aller aux toilettes ? » (clic, clic, ici aussi).
Et bien notre guide touristique (enfin, je devrais plutôt dire chauffeur de voiture car niveau tourisme, il n'était vraiment au top (mais ce n'est pas son job (mais là n'est pas la question (arrêtons les parenthèses)))) était pareil :
Il ne buvait jamais d'eau ;
il ne mangeait jamais non plus ;
on ne le voyait jamais dormir ;
et évidemment je ne sais pas comment il faisait pour ne pas aller aux toilettes.
Dans la dernière info-lettre, j'indiquais que l'on avait bien décollé et que notre voyage a commencé. C'était il y a 3 semaines de cela. Nous avons donc parcouru le Cambodge Sri-Lanka durant 2 semaines, passé 4 jours intenses au Japon et + particulièrement à Tokyo et nous profitons actuellement du calme du Cambodge. Pour rappel vous pouvez retrouver l'itinéraire prévu sur un ancien article.
Pas toujours facile de trouver le temps d'écrire, puis de taper les articles sur l'ordinateur et enfin de les publier en ligne. C'est la raison pour laquelle vous verrez maintenant en haut de chaque article quelque-chose du style "rédigé le XXX et publié le YYY" afin de resituer un peu mieux le fil de notre voyage. Il me manque encore de vous faire une récit de chaque pays, publier les photos et établir une carte de notre route mais j'y travaille dès que j'ai du temps. Aujourd'hui ce n'était pas facile, il fallait que je me partage entre l'ordinateur avec le Wi-Fi et la dégustation d'un Long Island Iced Tea les pieds dans la piscine...
Comme je le disais plus haut, je dois encore écrire pleins d'autres articles et pensez à consulter régulièrement le site. Le rythme de publication est finalement assez soutenu.
Parfois on définit l'aventure aux ennuis que l'on rencontre. Après une semaine, on en a déjà écumé certains. Rien de majeur pour le moment mais bon ces anecdotes valent le coup :
Se faire arnaquer par notre premier tuk-tuk On a payé 6 à 8 fois trop cher mais nous n'étions pas dans une situation facile : 24h de voyages dans les jambes, la gestion du gros sac à dos par 30°C en plein soleil, ne pas connaître le coût de la vie, ni le réel usage des tuk-tuk. Bref, ce n'est pas très grave car il nous a quand même posé au pied de notre hôtel.
Manger pimenté sans suffisamment de riz Et oui, j'aime bien le pimenté et le 2e jour j'en ai beaucoup mangé. Ma bouche est habituée à cela maintenant mais mon ventre pas encore. Je ne vous fait pas un dessin mais encore une fois rien de grave car ça n'a pas duré longtemps.
Arriver dans une ville le soir sans chambre réservée Pour nos deux premières nuits nous avions réservé une chambre afin d'être tranquille. Puis nous sommes partis en voyage organisé avec voiture+chauffeur+nuits+petit-déj'. On n'avait donc à ne se préoccupper réellement que du programme de la journée et de trouver à manger pour le déjeuner/dîner. Et le dernier jour, retour à Colombo ; nous avions repéré une guest house pas trop chère proche de la gare. Mais en arrivant sur la capitale, beaucoup de bouchons et il pleuvait. Nous n'avions pas vraiment d'adresse et le chauffeur nous suggère de l'éviter. Je trouve des hostels sur ma carte et le chauffeur nous dépose au seul hôtel qu'il connaît. Oui mais c'est hors de prix (85$). On bifurque donc sur un "hostel" (notez la différence avec le -s- en +). Heureusement ils ont une chambre. Il est 19h, on est debout depuis 7h, on a du sable plein partout (oui escale à la plage de Mirissa sur la route :-) ), entre 2 averses orageuses alors même si c'est au-dessus du budget, on prend quand même. Bref par d'emmerdes particuliers mais un bon coup de stress quand même.